Venture Philanthropy / Impact investing / Startup Studio

Partout, des entrepRENEURS AGISSENT POUR UNE société plus juste

Nous les aidons à changer d'échelle

Nous rassemblons le meilleur des mondes de l’investissement, de l’entrepreneuriat et de la philanthropie pour créer et accélérer des projets à impact positif

PASSAGE à L'éCHELLE

Le Fonds du Bien Commun s’engage aux côtés des entrepreneurs sociaux et associatifs qui œuvrent à construire la société de demain. 

Notre mission : sélectionner les projets à fort potentiel, définir avec leurs dirigeants les stratégies de développement et accompagner toutes les étapes du changement d’échelle.

OUTILS

4 modes d’action complémentaires

Le Fonds du Bien Commun est un acteur hybride et unique de l’écosystème philanthropique français. Afin de soutenir tous les projets œuvrant au bien commun, nous avons conçu quatre outils distincts.

DonS

Le Fonds de dotation du Bien Commun finance les associations reconnues d’intérêt général, en priorisant le passage à l’échelle des projets soutenus. 

Les dons représentent aujourd’hui +60% de notre activité.

Investissements

Le Fonds Impact du Fonds du Bien Commun investit à long terme dans des jeunes entreprises ou des entreprises matures à fort potentiel, en priorisant l’impact durable sur les territoires. 

Les investissements représentent aujourd’hui +20% de notre activité.

Immobilier

La Foncière solidaire du Bien Commun vise à mettre l’épargne au service de projets immobiliers porteurs de sens. 

Incubateur

L’Incubateur du Bien Commun accompagne des entrepreneurs sociaux et associatifs à tout stade de développement.

Vous agissez aussi pour le bien commun ? Vous avez un projet ?

VOUS SOUHAITEZ REJOINDRE le Fonds du bien Commun OU L'UN DE SES PARTENAIRES ?

nos priorités

Les DOMAINES D'ACTION

Le Fonds du Bien Commun a choisi d’orienter son action autour de quatre domaines prioritaires :

  • L’éducation intégrale
  • La croissance humaine & spirituelle
  • La solidarité
  • Le patrimoine & la culture

De l'Or dans les Mains

De l’or dans les mains est une association qui conçoit des outils pédagogiques pour raconter aux collégiens les métiers de la main. L’association déploie au sein des établissements scolaires des programmes pour permettre aux jeunes de découvrir ces métiers à travers la pratique, avec un artisan.

Modalité du soutien :

Domaines d'action :

Urgences Patrimoine

Urgences Patrimoine est une association citoyenne, engagée pour la sauvegarde du patrimoine des territoires. Elle rassemble tous ceux qui souhaitent voir le patrimoine s’inscrire dans l’avenir.

Modalité du soutien :

Domaines d'action :

Symphonia Productions

Symphonia Productions conçoit, réalise et produit de grands spectacles historiques, pour faire découvrir et aimer notre histoire et notre culture. L’association a été créée en septembre 2018 par Corentin Stemler, jeune artiste vendéen passionné de théâtre et de spectacle.

Modalité du soutien :

Domaines d'action :

La Fondation de l'Engagement

Alors que la période de chômage fragilise les chercheurs d’emploi et les expose à de multiples risques psycho-sociaux, Transitions à Impact propose de changer la donne. Le principe ? Rendre l’engagement citoyen accessible aux chercheurs d’emploi à travers une multiplicité d’actions solidaires et les accompagner durant tout le parcours. Se sensibiliser aux enjeux du handicap, organiser une collecte de vêtements pour les plus précaires, donner son sang, mentorer un jeune défavorisé, imaginer un projet citoyen pour aider les personnes isolées…Ce sont des exemples d’actions solidaires proposées par Transitions à Impact, un projet imaginé par la Fondation de l’Engagement pour tous et l’association Activ’Action.

Modalité du soutien :

Domaines d'action :

Meditatio

Meditatio est la première application de méditation chrétienne francophone. Meditatio propose ainsi des méditations audio guidées qui s’appuient sur ces différents courants spirituels, et qui invitent à faire face aux problématiques du quotidien en puisant dans la sagesse chrétienne.

Modalité du soutien :

Domaines d'action :

Le Tour de France des patros

Le patronage propose de nombreuses activités qui ont pour ambition de révéler les talents de chacun. En leur faisant confiance, en les responsabilisant, en les encourageant, les enfants vont pouvoir donner le meilleur d’eux-mêmes.

Modalité du soutien :

Domaines d'action :

Et pourquoi pas votre projet ?

Vous portez un projet qui correspond à l’un de nos quatre domaines d’action prioritaires ? 

Vous avez l’ambition de changer d’échelle et ressentez la nécessité d’un accompagnement stratégique et financier ?

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Projets soutenus
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MILLIONS D'EUROS D'ENGAGEMENTS EN 2022
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membres passionnés au sein de l'équipe

QUI NOUS SOMMES

notre EQUIPE

Une équipe au service deS projets

L’équipe est constituée de profils issus de l’univers du conseil, de l’investissement et du secteur associatif, à l’image de notre accompagnement 360° sur mesure des porteurs de projets. 

Nos actualités

la voix du bien commun

Dans un contexte de baisse des dons, il est indispensable que le gouvernement mette en place un plan ambitieux pour préserver et développer nos associations, plaide Alban du Rostu, directeur général du Fonds du Bien Commun.

Alban du Rostu, directeur général du Fonds du Bien Commun, loue les vertus de notre tissu associatif. Dans un contexte de baisse des dons, il est indispensable que le gouvernement mette en place un plan ambitieux pour préserver et développer nos associations, plaide-t-il.

Une grande partie des 100 jours que s’était donnés la première ministre pour conduire le pays vers l’apaisement s’est déjà écoulée, et si les manifestations se font plus clairsemées, les divisions politiques et sociales profondes demeurent. Pourtant, le gouvernement pourrait trouver dans les centaines de milliers d’associations qui irriguent le pays des relais précieux pour tisser le nouveau contrat social promis par le président de la République.

Abstention, défiance, démissions en masse, désaffiliation vis-à-vis des structures qui ont fait la France et la Vᵉ République (État, Église, partis, syndicats, etc.) dessinent pour l’observateur pressé un inquiétant tableau. Qui veut encore s’engager ? Regardant la jeunesse, on s’inquiéterait plus encore. Lors de la dernière élection nationale (législatives 2022) seuls 28 % des moins de 30 ans ont voté. Oui, mais… dans cette tranche d’âge qu’on dit volontiers centrée sur elle-même, 40 % sont bénévoles dans une association. Il suffit de regarder les rangs de la Protection civile, ou les engagements de chefs scouts pour se rendre à l’évidence : l’engagement est une réalité forte et quotidienne.

Paradoxe apparent de notre société divisée, la recherche de sens est devenue omniprésente : au travail, dans la consommation, dans l’éducation, pour l’environnement… partout, on s’interroge et on agit pour donner un sens à nos quotidiens. Et les Français agissent ! Selon un récent rapport de France Générosités, les dons ont augmenté de 10,7 % entre 2021 et 2022. Au-delà de l’argent, 16 millions de bénévoles agissent sur le terrain. Donateurs ou bénévoles, près de la moitié des Français s’engage pour les associations qui agissent sur les causes qui leur tiennent à cœur.

Le gouvernement veut agir pour l’éducation et la santé ? Il veut lutter contre l’exclusion et la pauvreté ? En première ligne des réalités de notre pays, les associations peuvent l’orienter et lui faire toucher une réalité qui, parfois, passe entre les mailles d’une approche purement administrative ou technique. C’est le sens de l’action qu’ont mené cinq associations sous le nom de « maraude des parlementaires » cet hiver. Tous les parlementaires, de toutes étiquettes, ont été invités à partir anonymement à la rencontre des sans-abri. Une soixantaine a relevé le défi et leurs témoignages humbles et nuancés, c’est-à-dire proprement humains, laissent espérer une évolution de la prise en charge des sans-abri dont le nombre a augmenté de 10 % entre 2022 et 2023.

En incluant les associations et leurs bénévoles et donateurs dans la cocréation et la mise en œuvre de ses réformes, le gouvernement s’offrirait une opportunité unique de rassembler les Français autour d’un grand projet commun. »

Alban du Rostu, Directeur général du Fonds du Bien Commun

De plus, les associations sont des laboratoires d’innovation sociale, elles permettent de tester de façon agile et localisée des initiatives qui pourraient ensuite être répliquées par l’État. L’exemple type est celui du partenariat entre Pôle emploi et la Fondation de l’engagement pour tous, qui expérimente localement le fait de confier des missions de bénévolat aux chercheurs d’emploi. Les résultats sont clairs : l’engagement bénévole facilite le retour en activité.

L’exemple de l’association 1001 mots, qui travaille avec les relais PMI et l’ensemble du réseau associatif pour aider les parents à éveiller le langage des enfants de moins de trois ans, est très parlant également : l’objectif est de limiter, avant même la scolarisation, l’écart qui pourrait se creuser entre les enfants. Au lieu de soigner les maux a posteriori, attachons-nous à les prévenir.

En incluant les associations et leurs dizaines de millions de bénévoles et donateurs dans la cocréation et la mise en œuvre de ses réformes, le gouvernement s’offrirait une opportunité unique de rassembler les Français autour d’un grand projet commun. Dans l’immense majorité des cas l’engagement associatif ne repose ni sur l’ambition personnelle, ni sur le goût de l’argent ou la soif de notoriété. Il est l’action de ceux qui croient à un idéal et sont en quête de sens.

Aujourd’hui pourtant le modèle associatif est menacé. Passée la vague de solidarité pour l’Ukraine, comment évolueront les dons en contexte d’inflation ? Près de quatre donneurs sur dix envisagent de moins donner en 2023. Pourtant, nombre de frais des associations évolueront avec l’inflation. L’allongement de la durée de cotisation et le départ plus tardif à la retraite ont inquiété nombre d’acteurs associatifs habitués à compter sur les jeunes retraités pour mener leurs actions.

Un plan ambitieux et transversal pour le soutien et le développement de la vie associative serait pour le gouvernement l’opportunité de soutenir mieux ceux qui agissent au quotidien pour le Bien commun.

Alban du Rostu, Directeur général du Fonds du Bien Commun

Plus profondément, les associations sont limitées dans le déploiement de leur plein potentiel. Dans une économie où se développent par milliers les entreprises « à mission » et les fonds d’investissement « à impact », la distinction stricte entre lucratif et non lucratif pénalise parfois les associations. Plusieurs pistes pourtant pourraient être explorées comme le relèvement du plafond des recettes d’exploitation des organismes à but non lucratif. Combien d’associations limitent-elles aujourd’hui le développement de leurs activités lucratives (par exemple la dispense de formations ou de prestations de conseil) pour ne pas risquer de perdre leur qualification d’intérêt général ?

Les demandes sont nombreuses. Un plan ambitieux et transversal pour le soutien et le développement de la vie associative serait pour le gouvernement l’opportunité de soutenir mieux ceux qui, souvent dans la discrétion et de façon bénévole, agissent au quotidien pour le Bien commun.

Les millions de Français de tous âges, toutes conditions et toutes sensibilités politiques, qui s’engagent dans des associations témoignent du fait que l’engagement continue, en 2023, à être une aspiration soutenue dans notre société qu’on dit en mal de sens. Dans un contexte de vives tensions politiques et sociales, ces associations sont un signe d’espoir et pourraient servir d’inspiration et de relais pour les politiques attachés à l’unité de notre pays.

Le Festival Joy Connection s’est déroulé à Pornichet le 20 mai 2023. Le Festival a marqué un moment inoubliable dans la promotion de la joie, la culture, et le Bien Commun. L’événement, soutenu par le Fonds du Bien Commun, a attiré des participants de toutes générations grâce à sa programmation musicale dynamique et son engagement profond envers le Bien Commun.

97% des festivaliers estiment que la joie était au rendez-vous et presqu’autant souhaitent revenir l’an prochain !

Festival Joy Connection : Un Mélange de Pop, de Gospel & de Joie

Le Festival Joy Connection c’est d’abord une expérience vibrante qui vise à apporter de la joie à tous les participants. Cette année, le festival a mis en avant un ensemble diversifié de concerts, dont trois de pop et trois de gospel. Les têtes d’affiche Ridsa et Léonie, ont enchanté le public et affirmé la position de l’événement comme un rendez-vous culturel essentiel.

Le festival tire sa source musicale de deux répertoires : la pop avec ses mélodies entraînantes, et le gospel avec ses textes inspirés. Ces deux styles ont créé une ambiance électrisante, où chaque note de musique était une invitation à la joie de vivre.

Un Esprit Familial & musical au service du Bien Commun

Le Festival Joy Connection est plus qu’un festival de musique ; c’est un mouvement dédié à la promotion du Bien Commun. Soutenu par le Fonds du Bien Commun, l’événement est 100% associatif et à but non lucratif. Cette année, le festival a soutenu des associations locales comme les Matelots de la Vie, les Agitateurs de la Culture, Marie Moreau et Saint Vincent de Paul.

Mais au-delà de cet engagement, le Joy Festival est aussi un lieu de rassemblement pour toute la famille. Avec son atmosphère conviviale et bon enfant, le festival est l’occasion pour toutes les générations de se retrouver et de partager ensemble des moments de joie. On a pu y rencontrer des festivaliers de 0 à 80 ans !

Un Souci Écologique au Cœur du Festival

Le Festival Joy Connection a également un fort engagement écologique. En collaborant avec les associations REEVE et Zéro Déchets, le festival a minimisé son empreinte environnementale. L’événement a favorisé la mobilité douce, a limité la production de déchets et a sélectionné des prestataires de restauration engagés à cuisiner des produits locaux et de saison.

En alliant musiques, engagement pour le Bien Commun et écologie, le Festival Joy Connection a réussi à créer un événement incontournable. Vivement la prochaine édition pour continuer à célébrer la joie et la communauté !

élèves levant de doigt

Aujourd’hui, neuf départements sur dix où les jeunes ont les plus grandes difficultés de lecture se trouvent en zone rurale

Environ 23% des communes rurales en France n’ont pas d’école primaire, obligeant les élèves à parcourir de longues distances pour se rendre à l’école.
2021 le taux de réussite au baccalauréat toutes filières confondues était de 87,4% au niveau national, tandis qu’il était de 83,2% dans les zones rurales.

Des projets cherchent à combler cette fracture territoriale 

Les écoles Excellence Ruralité

Excellence Ruralité cherche à offrir aux élèves des zones rurales les mêmes chances de réussite que leurs pairs citadins. Ces écoles font le pari de rendre l’excellence accessible à tous. Cela passe par la mise en place d’un cadre à la fois exigeant et stimulant, avec port de l’uniforme, vouvoiement obligatoire, ainsi qu’une limite de 18 enfants par classe. Deux écoles existent dans des aires particulièrement désertifiées sur le plan éducatif, dans l’Aisne et en Charente, et trois autres projets sont à l’étude dans la Creuse, dans l’Orne, et en Isère.

Le projet de la chaîne d’internats Académies Saint Louis

Les Académies Saint-Louis sont un projet qui vise à mettre l’accent sur l’excellence académique et le développement global de leurs élèves. Cette chaîne d’établissements privés accordera non seulement une attention particulière aux domaines des sciences, des technologies, de l’ingénierie et des mathématiques (STEM), mais initiera également les élèves aux arts martiaux, aux sports d’équipe, ou encore à la musique. Des têtes bien faites, dans des corps sains ! Les premiers internats ouvriront leurs portes en septembre 2024, et avec le soutien du Fonds du Bien Commun, l’objectif est d’en avoir un par région d’ici 2028.

L’Education intégrale, accessible à tous, est l’une des priorités du Fonds du Bien Commun

En investissant dans Excellence Ruralité et les Académies Saint-Louis, le Fonds du Bien Commun aide des initiatives qui visent à offrir à tous les élèves, quel que soit leur lieu de résidence, des opportunités éducatives de qualité. Car nous pensons qu’il est possible de contribuer à la construction d’un système éducatif plus juste, où chaque enfant a la possibilité de faire fructifier ses talents !

Un jeune engagé avec l'association A Bras Ouvert pour emmener des personnes handicapées en week-end.

Engagez-vous, qu’ils disaient…

74% des français estiment qu’il est « préférable de s’engager, même si on n’est pas sûr du résultat que l’on va obtenir » (rapport de la Fondation Jean Jaurès, 2021).  La notion même d’«engagement» évoque quelque chose de positif pour 82 % d’entre eux, a fortiori chez les 18-24 ans !

Et pourtant … En creusant un petit peu plus le rapport de la Fondation Jean Jaurès sur l’engagement, on découvre que cette posture sonne parfois un peu creux. D’ailleurs, seuls 11% des Français se déclarent « très engagés » dans les faits.

Une société qui promeut l’absence d’engagement

Ce désinvestissement s’illustre d’abord dans notre vie quotidienne avec des publicitaires qui passent leur temps à nous faire des offres garanties « sans engagement ». Au niveau politique également, on constate deux faits : d’une part, un refus de choisir sur le plan des idées comme le montre le taux problématique d’abstention chez les jeunes ; d’autre part un manque d’engagement sur le terrain, en témoignent les partis politiques qui peinent à recruter au niveau local. Enfin, même dans la sphère privée, notre époque est de plus en plus marquée par l’oxymore du « couple libre », au sein duquel on s’interdit d’exiger de l’autre (mais surtout de soi-même) un engagement durable.

On semble si tétanisé à l’idée de perdre notre liberté qu’on en vient à admirer l’engagement, sans s’engager. Et si l’on renouait durablement avec l’engagement, le vrai, afin de sortir de cette situation paradoxale ? Non pas en publiant des « stories » qui relaient virtuellement nos pseudo-engagements ou ceux des autres, mais bien en se retroussant soi-même les manches pour le bien commun !

Des jeunes s’engagent pour le bien commun avec À Bras Ouvert

L’association À Bras Ouverts – soutenue via un don par le Fonds du Bien Commun – propose, depuis 1986, aux jeunes de s’engager pour les autres ! Le temps de week-ends ou de courts séjours, des accompagnateurs de 18 à 35 ans s’occupent des handicapés. Une façon pour tous les concernés de porter un message d’amour et d’espérance, de s’ouvrir à la différence et de changer le regard de toute la société sur les personnes porteuses d’un handicap.

Avec 30 groupes répartis à travers 12 villes de France, la distance peut difficilement être une excuse. Chaque groupe contient 20 à 40 jeunes handicapés et une cinquantaine d’accompagnateurs. De plus, aucune formation n’est demandée pour devenir accompagnateur : il est donc particulièrement simple de tester un week-end ou un séjour.

De juillet 2021 à juillet 2022, 733 jeunes ont participé à au moins 1 weekend, ainsi que 1 209 bénévoles.

Et pourquoi pas vous ?

Redécouvrons que l’engagement n’est pas la fin mais bien la condition de la liberté avec un grand « L » !

P. Valentin – 26 avril 2023, pour le Fonds du Bien Commun

Agenda

Évènements à venir

08/06/23

Créé par L’Alliance pour L’Amour Durable, le Prix des Couples est un appel à projet pour récompenser les initiatives (entreprises et associations) qui œuvrent à la durabilité des couples. La prochaine édition sera en octobre 2023. Les candidats doivent répondre au cahier des charges avant le 14 juillet à l’adresse : contact@alliancepourlamourdurable.com.